Bien, voilà le prologue de cette fameuse fic qui refuse de me sortir de la tête...
Prologue :
Il Marchait dans le cœur des ténèbres, son chemin était simplement éclairé par la faible lueur de l’astre d’argent qui lentement, était dévorer par les sombres nuages de la nuit. Il n’avait d’humain que sa manière de se déplacer, sa silhouette élancée rappelant plus un animal. Seul au milieu d’une nature morte, il gravissait pas à pas la colline alors que le monde sombrait dans l’obscurité. Il atteignait enfin le sommet de la colline, dominant la plaine en contrebas. La toile céleste se débarrassait de ses sombres nuages, laissant filtrer les rayons lunaire. L’être posait son regard sur les masses noires qui étaient éparpiller à travers cette étendu d’herbe noircit par le sang. Des corps à perte de vue, écrasés, déchirés. Il baissa la tête mollement, une larme coulait le long de sa joue. La voix serrée par la peine, il murmurait une dernière phrase.
Tout ça est de ma faute.
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Tous les grands pays du monde développe en secret une nouvelle génération d’arme, nom de code Genera. Le but principal de ce projet est d’améliorer les fonctions du cerveau humain à un stade démesuré. Pour éviter de tuer inutilement des sujets, les premières expériences on étés faites sur des animaux divers : renards, serpents, loups, aigles… la quasi-totalité des sujets tests perdaient la vie dans la plus grande des souffrances, la cause de mortalité la plus courante chez les sujets tests était une liquéfaction du système nerveux. Les rares animaux qui parvenaient à survivre - par miracle - subissaient divers changements physique et psychique, cependant leur états étaient loin d’être stable, certains périrent sous le coup de leur mutations. Après cinquante années d’études et de tests intensifs, le procéder était enfin finaliser, il marchait sur les humains à la perfection et les sujets animaux ayant survécus après avoir servis de cobayes furent enfermer pour toujours dans des salles de haute sécurité au plus profond des complexes militaires. Cependant, l’un d’entre eux réussit à s’échapper.