CODE LYOKO CRYSIS
1er Acte
L’Origine de XANA
Ici le journal de Franz Hopper, il est 20h nous sommes le 25 juin 1991. Se soir je me dois de vous dire la vérité sur les vraies origines de ma plus grande création XANA. Le jour du 17 décembre 1989 j’ais signée un contra pour l’armée, se contra devait être placée top secret et ne devait en aucun cas être dévoiler au grand public et a plus forte raison que cette nouvelle risquer d’affoler la population mondiale car il s’agisse d’une arme intelligente que je devais moi-même crée. A la fin j’ais réussi à obtenir se qu’on attende de moi mais je me suis rendu conte que si je la donner a l’armée elle s’en servirait pour détruire des pays entier, alors j’ais menti, je leurs est dit qu’une arme comme sel si était impossible et que les expériences que j’avais faite on échoué, l’armer a donc abandonner le contra et mon laisser tranquille pendant un temps. Pendant 9 mois entier j’ais passée du temps à corriger se programme pour lui faire oublier se pour quoi il a était crée et dans qu’elle bute, je l’es élevé et j’ais réussi à la matérialiser afin qu’elle puisse comprendre la nature humaine dans son environnement qui l’entour et comme c’était une jeune fille je l’es baptisé… Ana.
Oui Franz avait belle et bien élever XANA par le passée sous le nom de Ana, il s’occuper d’elle comme une seconde fille et elle apprit rapidement certaine connaissance humaine telle que les sentiments comme la joie et la curiosité d’autre encore lui était inconnu comme l’amour et la tristesse mais Franz voulez a tout pris qu’elle ignore les sentiment mauvais comme la haine et la jalousie car il avait peur que ses émotion affecte l’esprit fragile de Ana et ne la pousse a devenir se que Franz redouter.
Apprêt quoi Franz décida de crée un monde virtuelle sous le nom de Lyoko pour que Ana est a chais sois quant elle sentira que qu’el que chose ne va pas mais 4 ans plus tard elle lui servira de prison. Ana ressembler a Aelita comme une sœur jumelle a l’exception que ces cheveux était noir et qu’elle n’était pas humaine Franz voulais que Ana devienne aussi humaine qu’elle ni ressembler déjà et pour se la il la inscrit au collège Kadik la ou Franz enseigner la science et inutile de préciser que dans se domaine Ana était sans conteste la plus forte et c’est la que notre histoire commence.- Déjà la fin des cours ? (Demanda Ana a Franz)
- Oui Ana, il temps de rentrée maintenant.
- Les journées passent si vite.
- C’est un effet qui agit sur l’esprit quant on fait qu’elle que chose qu’on aime. Ca s’appel la relativité et elle se retrouve dans la plus par de nos occupations, exemple quant tu ne fait rien le temps semble plus long.
- C’est étrange.
- Mais tu va t’y habituer très vite, tu verras.
- Vous rentré chais vous vous aussi ?
- Oui Ana il le fau ma femme et ma fille m’attende.
- Es que vous reviendrez demain ?
- Bien sûr a toi de venir à la bonne heur.
- Conter sur moi (Répondit Ana d’un grand sourire impatient)
Quant la journée était fini Ana retourna a l’usine en repensent a se qu’elle a appris se qui lui faisait plaisir et la rendes plus heureuse car elle imaginer se qu’elle pourra apprendre encor le lendemain mais se soir la en retournent a l’usine Ana fie une rencontre qui aller marquer un changement dans sa vie.- Salut. (Retenti une voie de garçon derrière elle)
Ana ne répondit pas, elle avait peur, Franz lui avait appris de ne pas parler au inconnu t’elle qu’il soit mais cette situation l’embarrasser beaucoup.- Tu sais tu ne devrais pas trainer par ici a cette heur la c’est assai dangereux.
Ana resta muette, la tête un peux baisser et serran son livre fort contre elle.- Tes pas très bavardent… à moins que… tu ne puisses pas parler ?
Le garçon avait comme une drôle de sensation car il avait en face de lui une fille qui sembler avoir a peu prêt son âge (15 ans) pour temps il avait senti la peur d’une petite fille timide.- Si je t’importune dit le moi je ne te dérangerai pas plus longtemps.
- Non… tu ne me dérange pas. (Dit Ana d’une voie hésitante)
- Je dois y aller de toute façon, je passe souvent par ici peut-être je te reverrais demain dans le coin ou au collège.
- Ou… oui bien sur.
- Bonne soirée.
- Oui… ATEND !
- Oui ?
- Comment tu t’appel ?
- Je m’appel Eric et toi ?
- Ana.
- Alors a demain Ana.
- A demain… Eric…
Ana senti une drôle de sensation en elle et son cœur se mit à battre très vite puis elle se mit à sourire timidement en repartent sur ses pas.- Qu’es qui m’arrive ? (Pensa Ana) Je me sens toute gênée rien que de le voir. Es que c’est de l’amitié ?
Ou es que c’était qu’elle que chose de plus grand encor ?
A suivre.