Code Lyoko
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 La demande

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Léana

Léana


Nombre de messages : 24
Age : 28
Date d'inscription : 02/12/2010

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MessageSujet: Re: La demande   La demande - Page 2 Icon_minitimeLun 7 Fév - 20:29

Hellow!!! Ca fait un p'tit moment... Mais bon, j'ai pas trop la pêche en ce moment, et je ne vais quasiment plus sur le fow, celui-là, ou l'autre... J'vais pas faire de racontage de life, mais la seule raison pour laquelle je poste, c'est bien parce que la suite à déjà été écrite depuis un bail et que bon... Tant qu'à faire... - Auteur en dépression, Ne vous inquiètez pas... - Bref! La suite... Ah oui! J'espère un max de com's pour ce chap, en particulier....




Je glisse et je tombe… directement dans les bras d’Ulrich ! Mon samouraï chancèle légèrement son mon poids, amplifié à cause de ma chute, mais se remet droit en un rien de temps.


J’ai un peu de mal à reprendre ma respiration, et Ulrich aussi, mais pas pour la même raison, ou plutôt si, exactement pour la même raison ! Il a eu peur ! Et moi aussi ! Ça se lit dans ses yeux ! Car même si de cette hauteur je ne risquais pas de me tuer, j’aurai très bien pu me casser quelque chose et je ne voulais pas aller à l’hôpital, que j’avais en horreur.


Ulrich soupire de soulagement et me regarde, inquiet. Je lui lance un sourire un peu crispé par la peur, mais cela le détend perceptiblement quand même. Il me tient dans ses bras, un sous mes genoux, l’autre sous mes aisselles et vient d’appuyer son front contre le mien en soufflant un bon coup.


Son haleine fraiche me fait du bien, c’est la bouffée d’air qu’il me fallait, et mon cœur reprend un rythme normal… enfin, le rythme normal des circonstances. Car avec un Ulrich essoufflé à deux centimètres de moi + le fait que je sois dans ses bras + les regards qu’il me lance, comment voulez-vous que mon cœur batte normalement ? Hein ? Comment ?


Ulrich ouvre les yeux et me sourit. Je fais la même chose en murmurant un merci à peine audible. Apparemment pas pour lui, car son sourire s’agrandit et il dépose un tendre baiser sur mon front, repoussant mes cheveux encore plus en bataille que les siens :


« À votre service, mademoiselle ».


Je lâche un petit rire puis essaye de redevenir sérieuse un instant. Et ça marche !


Du moins, deux secondes, avant que je ne me noie dans l’océan noisette des yeux d’Ulrich. De là où je suis, je vois plus de vert que d’or dans ses prunelles magnifiques. J’essaye de décrypter le message qu’il me transmet. Et puis…


FLASH !!!



Je bats des cils dans le vide, aveuglée par une lumière blanche éclatante ! Je suis sensée ne pas être morte durant ma chute, non ?


Quand je retrouve la vue, après quelques battements de cils désespérés, c’est pour découvrir Milly et Tamiya, appareil photo à la main en train de s’extasier. Milly commente la photo que sa voisine vient de prendre, un énorme sourire aux lèvres.


« Alors là Tami’, la une de demain, c’est celle-là, peut importe le couple de ce soir, je veux celle-là en première page !


-Tout à fait d’accord, Acquiesce la jeune africaine. Hiroki avait raison, pour une fois, ces deux là, ils valent une première page à eux tout seul! On va exploser le nombre de vente avec ce numéro !


-Euh…oui ! Répond la jeune rousse, un peu perturbée. Mais pourquoi t’a dit qu’Hiroki avait raison, pour une fois ?


-Rho, ça va, hein ? C’est pas parce que c’est ton petit ami que j’ai pas le droit de critiquer !


-C’est…c’est pas mon petit ami ! Proteste la jeune rousse, rougissante et bégayante.


-Ouais, c’est ça et moi je suis le Pape ! Insinue la jeune africaine en souriant.


-Ben si ça se trouve, oui ! Assène Milly, n’ayant rien trouvé de mieux à dire.


Et elles s’en vont comme elles sont venues, se chamaillant un peu. Ni Ulrich, ni moi, n’avons bougé d’un poil. Puis il me regarde, je le regarde, et on éclate de rire ensemble. Ulrich me glisse entre deux éclats de rire.


« Autant moi je donne des conseils à ton frère pour la drague, autant Aelita devrait en donner à Milly pour remballer les gens ! Ou même Odd : cas désespéré = méthode désespérée ».


Et je repars dans un fou rire libérateur ! Ça me fait du bien et ça détends perceptiblement l’atmosphère, un peu lourde mine de rien. Ça la détend légèrement, mais pas assez, il y a une certaine gêne dans l’air, comme toujours quand je suis seule avec Ulrich. Enfin surtout depuis qu’on a faillit s’embrasser…


Je me demande quand il va remettre ça ? Une soudaine pensée me traversa l’esprit. Et si ? Je le regarde… je pourrais si facilement l’embrasser là, il est tellement près ! D’ailleurs je ne sais ce qui me retient. Je suis paralysée par…je ne sais pas ! Je…suis bloquée ? On dirait en tout cas. Par la peur ? Je ne pense pas. La peur de sa réaction ? Non plus. Mais alors quoi ? La peur de l’inconnu ? Non ! Après tout, ce n’est pas comme si hier on avait failli s’embrasser quatre fois ! Je souris à cette pensée si agréable, fermant les yeux et me laissant envahir par le bonheur.


« Si tu savais comme je t’aime…Je murmure doucement dans le cou d’Ulrich où je viens de me caler.


Heureuse.


Puis je me rends compte de quelque chose. Le silence. Un affreux silence. Ulrich ne rit plus et le gymnase est silencieux ; tout le monde est partit au réfectoire, hormis nous deux. Le silence règne, pesant et je fini par relever la tête et voir qu’Ulrich me regarde, surprit et…ému ? Qu’est-ce qu’il se passe encore ? C’est quoi ce cirque ? Ulrich … pleure ? Non !


Il a presque les larmes aux yeux et je ne peux que remarquer, subjuguée, que le chocolat de ses yeux en devient presque liquide, pailleté d’or plus brillant que jamais.


Je souris, ne comprenant pas vraiment, et monte une main pour caresser sa joue. Une larme coule. Je m’inquiète un peu, là.


« Tu as mal ? Je demande. »


Il sourit et d’autres larmes cristallines viennent. Je les essuie avec mes pouces, comme il l’a fait hier avec moi.


« Ulrich, ça va ? ».


Il commence à m’inquiéter. Même si, quelque part, je sais qu’il n’y a aucune raison pour cela. Ses yeux me le crient silencieusement, il va bien. Plus que bien même. Je le sens, je le sais.


Il retire son bras de sous mes genoux et me dépose par terre doucement. Je vacille légèrement quand mes pieds touchent le sol et me retient à lui, agrippant sa chemise de mes deux mains. Il fait glisser son autre bras jusqu'au creux de mes reins, me faisant tressaillir de la tête aux pieds. Il relève mon menton pour me regarder. Je fonds devant lui. Son charme opère toujours sur moi à ce que je vois.


Ma respiration bloque et je me prends a penser qu’elle me fait de plus en plus souvent défaut ces jours-ci. Je souffle pour me calmer, mais ça ne marche pas. Et cela devient encore pire en voyant ses yeux, que l’amour inonde. Face à lui et a ses regards, je suis pieds et points liés. Je ne peux pas m’échapper. Je suis prisonnière de son amour pour moi, dans une bulle, intouchable.


La seconde qui suit semble être la plus longue de ma vie. On ne fait que se regarder, mais il y a des étincelles dans nos yeux et des millions de papillons dans mon ventre, qui volètent dans tous les sens, me donnant une drôle de sensation. Le reste disparait, il n’y a que lui. Et moi. Nous.


Puis mon samouraï approche sa main de mon visage, lentement mais surement, et il la pose sur ma joue. Et la caresse. Il laisse glisser ses doigts sur mon cou, suivant la ligne de ma mâchoire avec son pouce. Il me relève le menton, que j’avais de nouveau baissé pour je ne sais quelle raison, et rapproche son visage du mien. Il pose ses lèvres sur mon front, puis descend vers mon nez qu’il embrasse aussi sur toute sa longueur. Il descend encore. Son nez frôle le mien et nos lèvres s’effleurent. J’halète carrément, à ce moment précis. Mon cœur s’emballe et bats la chamade.


Ulrich hésite, je sens son souffle doux sur mes lèvres. Il relève les yeux, me demandant la permission il me semble. Je me contente de fermer les yeux et de lui tendre mes lèvres, attendant. Une invitation muette qu’il ne peut refuser. Je sens quelque chose de doux et chaud se poser sur ma bouche. Et je comprends. Il m’embrasse ! Il m’embrasse !


Je suis tentée de soulever les paupières pour vérifier, mais je suis envahie par un flot de sensations jusqu'alors inconnues, et qui me prennent par surprise. La main droite d’Ulrich caresse ma pommette, tandis que la gauche resserre sa prise autour de ma taille. Je pose mes mains sur son torse et il commence un vrai baiser avec moi. Avec les intérêts, s'il vous plait ! Je…je suis au septième ciel. J’ai des ailles qui me poussent dans le dos et me font quitter la terre ferme. Seul Ulrich et ses lèvres contre les miennes me maintiennent en place. Ainsi que la douceur et la chaleur du premier baiser.


« Hum ! Hum ! »


Je sursaute et mon beau brun aussi, ouvrant les yeux brusquement.


M’apercevant que j’embrasse toujours Ulrich, je lâche ses lèvres pourtant uniques et rougit violemment. Mon frère et Aelita se tiennent devant la porte du gymnase. Aelita est visiblement vachement gênée de nous trouver comme ça, mais mon frère, non. Il s’appuie dans l’encadrement de la porte, croisant les bras sur sa poitrine.


« Désolé de vous déranger, hein, Dit-il d’un ton faussement ennuyé. »


Ton qui déteint face à son sourire ravi. Ulrich et moi nous nous regardons et rougissons ensemble. Quelle honte! Il n’y a pas de situation plus embarrassante que celle dans laquelle on vient de nous trouver. Aelita toussote un peu.

« Je lui ai dit qu’il fallait te téléphoner mais…me lance-t-elle, confuse.


-C’est pas grave Aelita, Je la coupe en souriant pour la détendre.


- Oui, ne t’en fait pas Aelita, Rajoute Ulrich.


-Remerciez-la, c’est grâce à elle que j’ai perdu du temps à venir ! Sans elle, ça ferait longtemps que je serai venu ! Réplique mon frangin.


-Je te jure que tu serais venu ne serais-ce que trente secondes avant, je t’aurai égorgé vif ! »


Ulrich sursaute et me dévisage avec de grands yeux. Hiroki nous regarde, sourit et s’adresse à MON samouraï. J’ai encore du mal à me rendre compte de…ça. Je crois que si je me réveille maintenant et que tout cela n’est qu’un rêve, je ne le supporterai pas. En deux jours, presque tous mes rêves se sont réalisés. C’est … irréaliste.


« T’inquiète, tu vas vite t’habituer aux menaces de mort ! Je te plains d’être avec ma sœur! »


Avant que je n’aie pu rappliquer avec une autre menace, Ulrich me devança, me prit par la taille pour m’attirer contre lui, avant de répondre à mon frangin. Je rougis énormément de sa réponse.


« Hiroki, tu te rends compte de ce que tu viens de dire ? Je ne pouvais pas rêver mieux ! Imagine un peu que je te plaigne d’être avec Milly ? C’est bien la fille que tu aimes, non ? Ça reviens au même ! Tu te plaindrais en étant avec Milly? Réfléchis bien ! S’exclame mon beau brun.


-Moi ? Mais non ! Ça va pas ou quoi ? »


Je souris de sa réplique et lance un regard en coin à Ulrich. Tout à coup ma mère passe sa tête par la porte entre ouverte et nous regardes tous l’un après l’autre, surprise.


« Ben alors ! Qu’est-ce que vous faites, là ? Je vous attends depuis un bon moment dans la voiture, moi !


-Excuse nous maman ! Yumi avait un petit contretemps, Répond mon frère en me jetant un regard qui en dit long. »


Ma mère semble alors s’apercevoir que je suis là, qui plus est dans les bras d’Ulrich. Elle écarquille les yeux et Ulrich me lâche doucement, pour ne pas faire de scandale. Je le regarde et lui souris. Il me rend la pareille. Je me dégage de lui lentement, l’embrasse sur la joue et lui chuchote tendrement à l’oreille :


« À toute à l’heure beau brun….j’ai hâte ! »


Il rougit, ce qui fait que tout le monde se pose des questions, mais se reprend vite et me fait un clin d’œil malicieux.



Je sors en compagnie de ma mère, mon frère et ma meilleure amie, non sans jeter des regards en arrière plusieurs fois. Il est là, et attends sagement que je parte pour y aller lui aussi.


En montant dans la voiture je le regarde une dernière fois, puis soupire, souris, et entre enfin. Une fois à l’intérieur, je ne peux m’empêcher de le regarder jusqu'à ce qu’il disparaisse de ma vue. Hiroki se tourne vers moi, en soufflant.


« C’est bon, tu le reverra ce soir ! Là, il est plus là, tu peux te retourner maintenant, tu me donnes un torticolis »


Ma mère rit et me fixe dans le rétroviseur tandis que je m’installe correctement, en boudant. J’attrape une bouteille d’eau, la mienne, calée dans la poche à l’arrière du siège passager. Hiroki me regarde tranquillement. Je connais cet air, ce n’est pas bon, pas bon du tout. Qu’est-ce qu’il prépare ? Quand il ouvre la bouche, je ne le regarde déjà plus, aussi je suis surprise de l’entendre, mais surtout de sa réflexion :


« Je ne savais pas qu’embrasser quelqu’un ça donnai si soif ! »


Je m’étouffe carrément et Aelita à la gentillesse de taper dans le dos pour calmer mes quintes de toux. Elle me prend la bouteille des mains et la referme précautionneusement car il est vrai que j’ai failli tout renverser… sur la tête de mon frère, ce qui lui aurait fait du bien.


Heureusement que c’est ma mère qui conduit et qu’on est à un feu rouge, parce que sinon…


« Mais t’es pas bien ? Je cri, quand j’ai réussi à récupéré ma respiration.


-Yumi doucement, Me gronde gentiment ma mère. Calmes-toi, s’énerver ne sert à rien, rappelles-toi!»


Elle me fait un clin d’œil dans le rétroviseur et je souri. Elle a tout a fait raison. Pourquoi s’énerver avec Hiroki ?


« On reparlera de tes exploits avec la belle Milly Solovief demain ! On verra bien si t’as soif ou non, après tout vous risquez surement de vous embrasser ! Dis-je à mon frère, plus calme ».


Malheureusement pour moi, il trouve une repartie presque tout de suite :


« T’inquiète, pour bien faire, j’ai demandé des conseils à Ulrich ! Et vu que ça avait pas l’air de te déplaire à toi, toute à l’heure, y’a pas de raisons pour que ça lui plaise pas ! Non ? J’ai pas raison, t’avais l’air à fond dedans ! »


À ce moment ma mère stationne devant chez moi. Je bondis de la voiture mais Hiroki a été plus rapide, cette fois. Je m’élance après lui dans la maison, courant en montant les escaliers et en hurlant :


« Hiroki ! Je vais te tuer ! »


Aelita, restée avec ma mère, regarde la scène avec étonnement. Ma mère la regarde avec compassion:


« Ne t’inquiète pas, ma belle, ça arrive souvent !"


Et elles éclatent de rire toutes les deux et nous suivent à l'intérieur.



Là!!

Bisous.

Léana.
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Ulristo

Ulristo


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Age : 32
Localisation : en Evolution
Date d'inscription : 24/06/2008

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MessageSujet: Re: La demande   La demande - Page 2 Icon_minitimeLun 7 Fév - 21:37

Oh un petit up, ça faisait un bail ^^

Un bon chapitre remplit d'amour, d'humour et de menace de morts, on mélange le tout et on obtient Yumi Ishiyama xD. Bref, mon passage préféré c'est le dernier avec Yumi pourchassant son frère, aelita et la mère de yumi en train de rigoler à cette vue.
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Benrub

Benrub


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Localisation : Sur Scipio
Date d'inscription : 14/05/2009

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MessageSujet: re   La demande - Page 2 Icon_minitimeJeu 10 Fév - 16:21

xD Aelita et la mère de Yumi qui rigolent, vite la suite Léana.
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MessageSujet: Re: La demande   La demande - Page 2 Icon_minitime

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