voiune géant fanfiction pokémon :
Chapitre 1 - Peluche !
La nuit dernière, j'ai essayé mais je n'arrivais pas à dormir
Des pensées pour toi envahissaient mon esprit
J'étais seul et j'avais besoin de toi à mes cotés
La vie est difficile pour moi depuis que tu es partie
Et maintenant tout est fini.
Où est-ce que je vais ?
Je souhaiterais que rien ne se soit passé
Toutes ses tristesses...
Maintenant c'est l'incertitude que me ronge...
Je dois aller de l'avant
Mais comment me débarrasser de ce sentiment de solitude ?
Tu es partie, je suis ici, seul, sans aucunes autre aide.
J'essaye de parler, mais mes mots ne veulent pas sortir
Ramène-moi à ces jours où nous étions heureux, ensemble.
Tous ses souvenirs au fond de nous.
Et maintenant tout est fini
Je ne peux pas avancer si mon coeur est toujours là d'où j'essaie de partir.
Le temps des pleurs est fini.
Je sais que je ne peux pas contrôler ses sentiments,
Mais je ne dois pas faiblir.
Et je sais qu'elle ne reviendra pas.
Je dois maintenant aller de l'avant
Pour les gens qu'il me reste.
Rendre ma vie meilleure qu'elle ne l'était avant
Cependant tu es partie et je suis ici, seul.
Il n'y a aucune manière facile à dire... Adieu...
Prologue :
Un souvenir. Qu'est-ce qu'un souvenir en fin de compte... ? Une partie intégrante de soit ? Le souvenir fait-il la personne, notre caractère ? Ou alors, n'est-il pas important au fond... Des questions... Beaucoup de questions... Mais des réponses y en a-t-il ?
Chapitre 1 : Peluche !
Jadielle.
« Papa ? Papa ? Regarde la peluche Mystherbe ? Elle est trop mignonne ! Je peux l'avoir ? Dis papa ? Je peux l'avoir. »
Une petite fille aux longs cheveux bruns et aux yeux vairons attrapa son père par la manche et tira dessus pour attirer son attention.
« Dis, papa ? »
L'homme se baissa à hauteur de la petite. Il était brun, les cheveux en bataille et portait des petites lunettes noires rectangulaires. Il sourit à la petite fille.
« - Satine ? Tu n'as pas assez de peluches et de brocailles à la maison ?
- Mais celle-la je ne l'ai pas et elle est trop mignonne ! Hein papa ? Je peux l'avoir ?»
L'homme soupira et se gratta la tête. C'est alors que la petite lui fit une tête suppliante et au bout du compte, les grands yeux larmoyants de la fillette, firent craquer le père.
« - J'me fais à chaque foi avoir... C'est bon. On la prend.
- Chouette ! Merci papa ! »
Elle lui fit un gros bisou collant sur la joue. Le père prit la peluche des mains de la petite et la déposa sur le comptoir avec les autres articles, puis il passa discrètement une main sur sa joue pour enlever la bave que sa fille lui avait si généreusement laissé.
« - Bonjour professeur, bonjour Satine.
- Boujour Lucas. »
L'homme commença à passer les articles en caisse.
« - Alors, comment ça va au Bourg Palette ?
- Pas trop mal. Pas trop mal.
- Et votre femme ?
- Ca va. Elle est restée à la maison aujourd'hui. Elle devait finir une recherche importante. Enfin, elle ne sort plus trop du laboratoire depuis le moment ou... Enfin bon... »
Il eut un petit silence tendu. Le vendeur gêné, fini de passer les articles et les mit dans un sachet. L'homme paya.
« - Satine ?
- Oui, monsieur ?
- Tu veux un bonbon ? »
La fillette fit un grand sourire.
« - Papa, je peux ?
- Bien sur, pourquoi tu ne pourrais pas ? »
Le vendeur se baissa à hauteur de la petite et lui présenta un bocal avec des bonbons. Elle en prit un.
« Vas-y prends-en une bonne poignée. »
La petite se tourna vers son père qui lui sourit.
« Oui, tu peux, ce n'est pas très bon pour tes dents mais soit ! »
La petite plongea ses deux petites mains dans le bocal et prit un tas de sucreries, qu'elle enfourna dans ses poches.
« - Merci monsieur !
- Merci et au revoir Lucas !
- Au revoir professeur, au revoir Satine. »
Sur la route entre Jadielle et Bourg Palette.
« - Papa ? Pourquoi on a pas prit la voiture ?
- Il fait beau et puis c'est bien de marcher de temps en temps, non ?
- Hum... Papa ?
- Oui ma chérie ?
- Pourquoi les Rhinocornes ont une corne sur le bout du nez ? »
Elle montra son bout du nez en louchant. Le père se mit à rire.
« - Pourquoi me poses-tu cette question ?
- Ben je me demande... Alors, pourquoi ?
- Et bien parce que... c'est comme ça ! Nous, les humains avons des cheveux sur la tête et bien les Rhinocornes ont une corne au bout du nez ! »
Il passa alors sa main sur le nez de sa fille et fit comme-ci il avait attrapé son nez.
« - Pour le coup, je te chipe ton nez.
- Mais ! Papa ! Rends-moi mon nez. »
Elle commença à sauter pour attraper la main de son père. L'homme rit de nouveau et fini par lui « rendre » son nez. La petite commença alors après ça, à faire la moue.
« - Tu boudes ?
- Nan !
- Si tu boudes, Satine. Fais attention tu risques d'être ridée avant l'âge...»
C'est alors que la petite lui tira la langue. Le père sourit.
Une dizaine de minutes passèrent...
« - Papa ? On est bientôt arrivé ?
- Satine, tu me l'as demandé il y a à peine 2 minutes.
- J'ai mal aux pieds... »
Elle s'arrêta net et s'assit par terre.
« Satine. Allez... Lèves-toi ! Ca serait bien qu'on arrive avant le coucher du soleil. »
Elle ne bougea pas.
« Rho, c'est bon, j'ai compris... Monte sur mes épaules. »
Elle finit la route sur les épaules de son père. A la vue du petit village la petite s'exclama :
« On est arrivé ! On est arrivé ! »
L'homme sourit.
« - Tu es prêtes ? Accroches toi bien.
- Prête à quoi ... ?
- A ça ! »
Il commença alors à courir à toute allure. La petite s'agrippa alors très fort au cou de son père. Au début elle prit peur mais bientôt, on l'entendit rire dans tout le village. Ils arrivèrent alors, devant la maison. Le père déposa sa petite sur le perron et s'assit. Il était tout essoufflé de sa course.
« - C'était drôlement chouette ! On recommence ? Dis ?
- Oui, ma puce, mais pas maintenant. Papa a trop courut là... Il est fatigué. Faudrait que j'arrête mes pitreries, c'est plus de mon âge.
- Je vais montrer ma peluche à maman. »
Elle entra dans la grande maison.
« Maman ? Maman ? Regardes ce que j'ai acheté ? Maman ? T'es ou ? »
L'homme se leva et entra dans la maison à la suite de sa fille.
« Maman ? MAMAN ! PAPA ? »
La voix de sa fille changea d'un seul coup. Elle passa de l'excitation à l'inquiétude. Le cœur de l'homme se mit alors à battre la chamade. Il se précipita vers la voix de sa fille. Il entra dans la pièce. Sa femme était à terre, inconsciente.
« MEGU ! »
Il se jeta à genoux près d'elle et la prit dans ses bras.
« Megu ? Répond-moi ! Qu'est-ce qui se passe ? Je t'en pris répond-moi ! MEGU !! »